S’il y a bien question à débattre chez les trekkeurs, ce serait bien celle-ci : guide ou pas guide? En effet, il y a deux écoles : celle des « pour » et celle des « contre ». Cependant elle ne se résume pas nécessairement à cette simple réponse…
En effet, comme dans tout avis il faut des arguments … Or, autant les « pour » que les « contre » ont leurs raisons parfois bonnes ou mauvaises … Bref !
Dans cet article je vous propose donc les avantages (l’école « pour ») et les inconvénients (l’école « contre ») pour chacun des points débats. Cependant attention car au delà d’annoncer des arguments en faveur de chaque école, il faut bien évidemment tenir compte d’un paramètre des plus importants : la destination !!
Bien que l’on puisse débattre sur les pour et les contre, le point nec plus ultra est bien sûr la destination. En effet, l’avis ne sera pas le même si vous partez pour un trek en Ethiopie, au Népal, au Canada ou dans les Alpes …
Je n’ai évidemment pas nommé l’Ethiopie pour rien … en effet si j’en parle c’est parce que j’en ai les preuves. Que vous y alliez pour un safari ou pour voir le magnifique volcan Dallol, malheureusement vous aurez besoin d’un guide voire même de militaires …
Et oui, certains pays font rêver de par leurs paysages cependant beaucoup sont en guerre civile et ceci n’est pas à prendre à la légère … Preuve et exemple : en Ethiopie – justement – 5 touristes ont voulu tenté le Dallol par leur propre moyen … malheureusement ils ont été tué par balles par des « fous » qui passaient par là … (et si vous n’en avez pas entendu parler c’est tout simplement parce que les médias s’en foutent … désolé d’être vulgaire mais c’est la réalité … pays d’Afrique + touristes non francophones = pas important ! –‘).
Alors soit, le danger est partout … cela dit, si vous regardez sur le site des différentes ambassades, vous y trouverez toutes les informations nécessaires sur l’état actuel des choses dans chacun des pays. Donc, je ne dis pas qu’il ne faut pas y aller, seulement faites attention et prenez vos précautions : ne jouez pas les Warriors pour soit disant prouver à tout le monde que c’est possible … car ce n’est malheureusement pas le cas de tous …
J’ai ensuite cité le Népal … j’aurai pu aussi dire la cordillère des Andes … bref dans l’idée ici, je vous parlerai de sûreté au niveau santé. Car dans ces pays là on monte très haut en altitude … et qui dit haut dit mal des montagnes. Or vous savez tous comme moi que celui-ci peut arriver n’importe quand et avec divers symptômes plus ou moins importants.
En effet, on peut très bien s’acclimater à l’altitude comme pas du tout et cela même si l’on respecte correctement les paliers. Je n’en ai pour ma part jamais fait les frais (je touche du bois) cependant une fatigue ou une baisse de tension arrivant juste avant votre départ peut amener votre corps à réagir différemment face à l’altitude.
Bref, ce n’est pas le sujet ici … j’en parlerai dans un autre article 😉
Cependant, j’explique cela pour vous faire comprendre qu’un guide dans ces montagnes n’est guère inutile … En effet, celui-ci vivant dans ce pays saura parfaitement quoi faire si vous n’allez pas bien (comme vous donnez des plantes à mâcher par exemple [oui j’ai testé la coca au Pérou et ça marche … ^^’]) ou saura où vous emmenez si cela tournait vraiment mal (hôpitaux, médecins, pharmacies ou … chamans du village, why not ?! xP).
La sûreté vaut alors également pour les refuges ! Prenons l’exemple où vous êtes en trek au Canada ou dans n’importe quel autre milieu sauvage, que vous croisez non loin de votre campement des traces fraîches d’animal quelconque … je pense que si vous disposez d’un refuge, l’option sera favorable pour la nuit !! xD
Les arguments 0 contestation, vous l’aurez compris, jouent en la faveur du guide … mais effectivement dans les Alpes on n’en voit guère l’utilité. Alors : pour ou contre ?
« Les visites ? Comment ça ? »
Bah oui quoi … Visites comme visites guidées. Et oui ça arrive. Prenez le Pérou par exemple … Vous partez pour le trek de Choquequirao (la cité inca encore méconnu du tourisme de masse) et arrivez sur le site. Trop cool ! A votre retour tout le monde vous demande : « c’était bien ? et alors c’est quoi l’histoire du site ? » Et vous voilà à ressortir texto ce que vous avez lu dans le guide du routard parce que vous n’avez eu aucune autre explication une fois sur le site …
Quel flop ! =(
Bon, vous l’aurez compris c’est ce qu’il m’est arrivé … En effet, là haut, pas une pancarte explicative, juste des murs et des terrasses …
Bref, vous l’aurez compris, le guide vous sert dans ce genre de situations puisqu’il vous apportera beaucoup plus d’informations que vous n’en trouverez dans votre bouquin … :/
Dans d’autres cas, si vous décidez de faire l’ascension d’un volcan actif, ce peut être plus intéressant d’avoir des explications sur la vulcanologie si votre guide est également vulcanologue que de monter seul et qu’en plus vous n’y connaissez rien … 😉
Je ne reviendrai que brièvement sur ce point puisque j’en ai parlé ci-dessus.
Effectivement, dans certains pays en conflits ou guerres civiles, il est bien évidemment conseillé de prendre un guide. Premièrement vous vous trouverez avec quelqu’un du pays donc on se méfiera moins de vous ou on vous cherchera moins d’ennuis. Deuxièmement celui-ci connait parfaitement son pays donc il vous fera passer par les chemins les plus sûrs.
Dans le cas des volcans, de nouveau, si ce dernier est actif je vous conseille de prendre un guide car cela peut vraiment être dangereux. Certains pays ont d’ailleurs pris les devants … il est par exemple interdit de monter sur l’Etna ou le Stromboli sans guide.
J’en ai également déjà fait référence avec la santé. En effet, dans les pays à haute altitude, il vaut mieux être accompagné si jamais vous avez des symptômes du mal des montagnes ou même que vous vous foulez une cheville. Il sera où aller, comment vous soigner et surtout … parler aux habitants pour leur demander conseil.
Oui le langage n’est pas à négliger. Car quand on s’aventure vraiment hors des sentiers battus, on croise des habitants parlant des dialectes qui nous sont totalement inconnus. Je vous mets au défi de parler Quechua avec les Péruviens même quand votre espagnol est bon !! C’est du vécu … xD
Ensuite il y a la sûreté à proprement parlé. Combien ai-je entendu ou lu de « Je rêve d’aller dans ce pays mais on me dit que ce n’est pas une bonne idée … comment je peux faire ? Je suis vraiment partagé …« .
La solution est toute trouvée … prenez un guide dans les zones pour lesquelles vous n’êtes pas sûr si vous avez besoin d’être simplement rassuré. Vous profiterez de votre voyage sans avoir de boule au ventre dans la crainte qu’il ne vous arrive quelque chose.
Prenons par exemple mon expérience au Maroc : il m’était impensable, suite à l’assassinat des deux jeunes femmes norvégiennes à Imlil, de partir faire l’ascension du Mont Toubkal par mes propres moyens, le guide était forcement obligatoire (pour me rassurer et profiter pleinement du trek) !
Bon d’accord, si on fait un trek c’est pour tout le côté aventure du début à la fin : l’itinéraire, la débrouille, le défi et le paysage. Mais il y a du bon aussi au côté guide …
Ne rien faire, juste suivre !! O.O
Impensable pour certains, je me doute et comprends tout à fait car je suis de l’école de la débrouille aussi. Mais prenons l’exemple où on a envie de partir mais qu’on a vraiment pas le temps de préparer son séjour et que la moindre chose dont on ait besoin c’est : Souffler !
Et bien le guide devient alors notre meilleur ami : il connait le chemin par cœur (on a donc juste à le suivre), il peut nous apprendre certaines choses sur le milieu naturel par lequel on passe (comme la provenance de cette roche violacée par exemple …) et il nous fait souvent passer par THE landscape !!! Il connait son pays et veut qu’on en prenne plein la vue, juste top ! 😀
Petit point également non négligeable : il est souvent accompagné de son équipe de porteurs et … d’un cuisinier. Ça vous plairait pas vous, de temps en temps, après votre journée de randonnée d’arriver sur un campement où votre tente est déjà prête (ou votre lit) et où le repas vous attend sur le feu ?? Plutôt que de courir monter sa tente avant que le soleil ne se couche et de devoir préparer son super bon repas lyophilisé sur son réchaud à la frontale pendant que les moustiques vous dévorent ??
Mouahahah !! Vous voyez que c’est un bon argument ??!! xD
« 650$ par personne pour partir 4 jours en trek avec un guide ? Mais je suis pas Crésus moi !! =O«
Bon si c’est ce prix là, c’est qu’il y a bien des gens pour le payer … c’est bien triste –‘ Bref, ok les guides doivent vivre mais quand on sait qu’ils ne touchent parfois que 10% de ce budget et que les agences gardent tout, c’est pour moi conforter cette pratique de l’abus …
Enfin bon … Oui un guide, ce n’est pas donné ! Et effectivement, quand on voyage avec un petit budget on ne peut vraiment pas se le permettre …
Petite astuce cependant si vous souhaitez tout de même un guide mais pour un peu moins cher et surtout pour payer directement la personne : trouvez des guides indépendants (sur les réseaux sociaux ou sur les forums).
En passant par eux vous savez où va votre argent, vous tomberez sur des guides adorables qui font cela par passion et vous pourrez gagner jusqu’à 50% sur les prix d’agences …
Non ce n’est pas parce que les gens sont pauvres qu’ils se rabattent sur la randonnée en montagnes ou qu’ils ne payent pas de guide … — »
Comme dit juste au dessus, ce qu’on aime en trek c’est l’aventure. Le côté un peu sauvage où l’on se débrouille par ses propres moyens, le retour à la nature en toute simplicité, le calme, le défi et le bien-être.
Bref, s’il faut vous en convaincre je vous renvoie à mon article précédent sur les bienfaits de la randonnée … si si croyez-moi marcher ça fait vraiment du bien ^^
Quand on fait appel à un guide, on a souvent affaire à toute l’artillerie avec. Effectivement un guide d’agence travaille avec une équipe de muletiers (ou porteurs) et un cuisinier. Un guide indépendant, lui, fera le choix de travailler avec ou non.
Mais il existe aussi dans certains pays, la possibilité de prendre chacun indépendamment. Ainsi, au Pérou, vous pouvez très bien faire appel à des muletiers sans avoir nécessairement besoin d’un guide. Cependant il y a de fâcheux inconvénients …
Nous en avons fait les frais au Pérou. L’idée de base était de partir faire le trek de Choquequirao et de relier à pied le Machu Picchu à l’aide de muletiers (sans guide). Mais … c’était sans compter l’état des mules …
Je ne mâcherais pas mes mots … il s’agit ni plus ni moins de maltraitance ! Je monte à cheval depuis longtemps et croyez-moi je n’ai jamais vu une bête avoir aussi peur de l’homme… J’ai tant bien que mal tenté de les caresser mais à 2 mètres de distance, les mules ruent et reculent de peur d’être blessé.
Pour vous convaincre davantage, oui nous avons vu des bêtes avec l’encolure en sang qui coulait goûte à goûte sur le sol et oui nous avons vu ces touristes énormes et affreux qui restaient sur leur dos même quand la pauvre bête s’arrêtait devant une montée de 500 mètres de dénivelé en faisant passer le message qu’elle n’en pouvait plus … mais bien sûr le muletier est bien derrière en train de la fouetter et de lui projeter des cailloux pour qu’elle avance …
Bref, cet argument est plus que décisif ! Cependant attention, ce n’est pas le cas partout : au Maroc les mules sont adorables et leur propriétaire les bichonnent. Donc un simple test pour savoir s’il est conseillé ou non de faire appel aux muletiers : approchez les mules, observez leur réaction et « examinez »-les pour voir si elles sont blessées.
Les sherpas et porteurs au Népal ou ailleurs, on en parle ou pas ??
Personnellement, faire porter des sacs de 50 kg à des gars qui font exactement le même itinéraire que vous avec autant de dénivelé c’est plutôt culotté. Alors OK, ils connaissent le tracé par coeur et le font au moins 10 fois par an mais quand même …
On connait tous leur espérance de vie avec de telles conditions, rare sont ceux qui passent les 50 ans ou alors qui y arrivent sans être un vrai légume avec un dos et des articulations complètement cassés. Et on comprend très bien pourquoi, pas besoin d’explication …
Alors me direz-vous … c’est leur gagne pain … soit … Mais on ne pourrait pas leur donner d’autres idées plutôt que de se tuer la santé. Ou si vraiment ils doivent servir à quelque chose d’utile … ramassez les déchets sur votre route et vous vous partagerez les charges de manière équitable durant le trek 😉
Quand je parle autonomie, je parle de faire ce que l’on veut. Un exemple : un coin de campement vous branche pour la nuit et vous aimeriez bien vous y posez : super !
« Ahhh oé mais nan en fait !! oO Le muletier est déjà devant … OHHHHH EHHHH Muletier, tu reviens ??? » XD
Hum, effectivement la plupart du temps, le muletier, il trace sa route … c’est vrai quoi, ils sont lents ces touristes du dimanche ! ^^ »
Bon c’est un exemple parmi tant d’autres mais effectivement ne pas avoir toutes ses affaires peut vraiment être très embêtant … (petite blague en passant : imaginez si vous oubliez votre papier toilettes ? O.O Vive la nature !!! xD)
Bah oui, on sera toujours plus fier de dire à tout le monde ou simplement pour soi d’avoir fait un trek en autonomie complète avec un gros sac : c’est qui le/la Warrior ?? =P
C’est ça aussi le challenge, de se dire qu’on est capable de le faire puis au final qu’on l’a fait !! =D
Bon évidemment on sait tous très bien qu’en randonnée avoir un sac léger comme une plume c’est bien sûr impossible même si on donne la majorité de nos affaires aux porteurs (dixit les 2 ou 3 litres d’eau dans ton sac pour la journée Ahah !!).
Cela dit quand on peut passer d’un sac de 12 kg avec tente, sac de couchage et tout le nécessaire de trekking à un sac de 5 kg avec juste le nécessaire pour la journée comme son coupe-vent, ses en-cas et son eau c’est juste jouissif.
D’autant plus quand on a un dénivelé de plus de 1500 mètres qui nous attend …
Les articulations et le dos souffriront moins et on transpirera beaucoup moins aussi (Est ce que mon tee-shirt sera entièrement trempé dans le dos aujourd’hui ? Test !! 😀 ).
Le 1er avantage rejoint le second. Si on est plus léger, on se dépense forcément moins. Et en plus de soulager notre corps, on se fatigue moins car nous portons moins et du coup on tient plus longtemps.
On grillera moins ses cartouches, d’autant plus si on part pour un trek de 2 ou 3 semaines … Il faut une sacrée condition physique pour partir dans ce genre de défi en totale autonomie … Donc si on veut moins de fatigue pour tenir davantage le rythme, les mules ou porteurs seront les bienvenus pour promouvoir à la réussite de notre challenge 😉
Au delà du simple fait qu’il s’agisse de leur gagne-pain, si vous essayez un peu de discuter ou de rire avec vos porteurs ou muletiers, vous pourrez partager de très beaux moments. De plus, ils connaissent leur région mieux que personne (voire beaucoup plus qu’un guide qui n’est pas forcement natif du lieu) et pourront partager avec vous sur leurs coutumes, leur façon de vivre et leur culture.
De surcroît quand ils demandent un pourboire, contrairement à d’autres professions, c’est parce que les gars, bah … ils n’ont vraiment rien =/
Quoi qu’on en dise, comme dit plus haut, il s’agit ni plus ni moins de leur boulot. Ils sont payés à ça et n’ont, pour la plupart, pas beaucoup d’autres choix possibles quand il faut subvenir aux besoins ne serait-ce qu’alimentaires de leur famille restée au village.
Que vous ayez un guide ou non vous serez parfois confronté à choisir entre la tente et le refuge pour votre couchage. Alors même si de nombreuses destinations permettent et proposent les deux le choix est parfois difficile.
Mais le choix n’est cependant pas forcement à faire lorsqu’il vous sera imposé. Soit il n’y aura tout simplement pas de refuge sur votre itinéraire soit les couchages en refuge seront obligatoires comme par exemple sur la via alpina qui couvre le parcours de la chaîne des Dolomites en Italie.
Qui n’a pas rêvé d’un bon feu de cheminée dans une pièce fermée le soir d’une journée de randonnée ??
On ne va pas se mentir, ce qu’il manque sous la tente c’est bien la chaleur. Alors si un refuge nous permet d’être à l’abri d’une tempête, de la pluie ou du vent pendant la nuit, on ne va pas le refuser. Je pense qu’on connait tous la galère de la tente mouillée à replier le lendemain ou de la rosée, même par jour de beau temps, qui a humidifié nos chaussures de randos …
Ohhhh joie d’avoir de vrais toilettes, une douche (chaude –> si si ça arrive avec les panneaux solaires ;P) et des tables avec bancs où l’on aura pas les fesses toutes moites en se relevant …. Ou tout simplement d’avoir un sol plat pour poser son réchaud …
Au revoir la toilette au gant dans le ruisseau gelé de la montagne, la casserole rempli d’eau qu’on renverse par maladresse parce qu’on la pose de travers sur un foutu caillou …
Hum … !! Ok j’avoue, on n’y tient à son minimum de confort quand même ^^ »
Qui dit refuge dit souvent ravitaillement provisions. C’est le moment de racheter des fruits frais, des pâtes mais surtout de l’eau !!!
(Bon vous verrez vite que ce n’est pas toujours le cas … et si j’ai d’ailleurs quelque chose à bien critiquer sur la Corse ce serait celui-ci. Car quand on voit qu’au Pérou les refuges, même à 4000 mètres d’altitude passé, sont continuellement ravitaillés et que sur le GR 20 on vous sort « ahhh désolé j’ai plus rien sauf un pain de mie à 18€ » mais WHAT ????? Vive la France et ses gros riches !! [bah oui 1500€ pour un guide pour 15 jours de randos sans navette, sans ravito et sans refuge faut pas se foutre trop du monde non plus …])
Ok il fait chaud dans un refuge (quoi que …) mais dans une tente il fait parfois meilleur vous savez ? Ca ne vous est jamais arrivé de vous réveiller en pleine nuit dans un dortoir transpirant comme un dingue parce que la chaleur du groupe de 10 personnes avec vous à tellement réchauffer la pièce qu’on se croirait aux Maldives ?? oO
Bah moi si. Et sincèrement je me trouve beaucoup mieux dans une tente confinée à 2 car la température y est toujours agréable. A part ceux faisant de l’alpinisme ou de la très haute altitude : vous avez déjà eu trop froid ou trop chaud ?? Je ne pense pas.
Bon et si on prend aussi le paramètre inconnu dans le dortoir … je vous souhaite bonne chance pour ne pas tomber sur au moins un bon ronfleur Ahah xD
Sa tente, on la gère seul, on laisse le lieu tel qu’il était la veille sans y laisser nos poubelles (quoique … j’ai déjà vu des randonneurs tout laisser sur place, c’est malheureux — »).
Et bien, qui ose dire qu’il n’a jamais été dans un refuge où les douches étaient dégoûtantes si on y passait le dernier, les toilettes redécorés en peinture, les déchets quelconque laissés sur place ou tout simplement des odeurs à en vomir …. ?
Et qu’en est-il des personnes se croyant seuls et parlant à toute heure en hurlant ou en faisant un boucan de dingue en partant très tôt le matin ? Quand il ne s’agit pas parfois d’allumer toutes les lumières … — » ?
C’est autant d’incivilités dont on aimerait se passer. Hors en camping sous tente, on a beau dire mais au moins ces trucs là on les a pas … Il vaut mieux parfois préféré son petit coin solo finalement !
La saleté rejoint les incivilités. Effectivement laisser un endroit propre comme il a été trouvé dérange apparemment certaines personnes. De l’irrespect total !
Attention je ne fais pas une généralité, il m’est bien sûr arriver d’aller dans des refuges très propres le restant même après 2 nuits … Il ne s’agit ni plus ni moins, comme dans tout cet article d’essayer de voir en quoi guide, porteurs ou refuges ont du bon ou du mauvais.
Libre à vous de vous en faire votre opinion, ceci n’est donné qu’à titre de vous aider à choisir ou non l’utilité de ceux-ci. D’ailleurs si vous avez des points à ajouter ou même à critiquer, n’hésitez pas à écrire un petit commentaire puisqu’il s’agit d’une question à débattre 😉
* Marine *